Transport
Ce matin, Didier était en train d'expliquer à Roger et à Belle (la factrice) le côté Kafkaïen de certaines organisations dans son boulot. Je me dois de reconnaître qu'il n'a pas tort. Il y a des fois où l'on peut se demander si on ne marche pas sur la tête.
Moi-même, lundi matin dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai, euh... non... je remplissais un formulaire vierge, téléchargé sur le site d'une administration. Ce formulaire téléchargeable, est la reproduction exacte d'un formulaire papier existant. Jusque là tout va bien.
Vers la fin du formulaire, on nous demande donner le code (en 2 chiffres) d'une activité. A côté, est noté: "Voir le tableau des codes d'activité au dos". Et c'est là le plus drôle... Le formulaire téléchargé est en une seule page. Ils ont oublié de reproduire le dos de ce fichu formulaire.
La prochaine fois, je ferai comme Zézette épouse X. Dans les 2 cases, j'écrirai: « Je ne trouve pas votre tableau. ». Ca rentrera pas, mais je m'en fiche. J'écrirai petit.
Pour en revenir à Didier, ce matin il expliquait doctement que dans son service, les gens chargés d'aller effacer les tags dans les rues, n'ont pas assez de véhicules pour pouvoir se rendre sur place effectuer ce travail. Alors qu'il suffirait d'un véhicule de plus, pour pouvoir les emmener sur leurs chantiers. Et que c'est une situation abracadrabrantesque.
Moi je dis: Didier a raison. Y'en a marre de ne pas mettre à disposition les moyens nécessaires pour que les gens puissent faire leur boulot. Et ensuite, on leur reproche de ne pas faire leur travail.
Une fois son explication terminée, et son heure de bistrot achevée (enfin... celle du matin. Pas celle de midi ni celle du soir), Didier est reparti bosser. Avec une camionnette du service qui sert à transporter le personnel. Voilà.
Moi-même, lundi matin dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai, euh... non... je remplissais un formulaire vierge, téléchargé sur le site d'une administration. Ce formulaire téléchargeable, est la reproduction exacte d'un formulaire papier existant. Jusque là tout va bien.
Vers la fin du formulaire, on nous demande donner le code (en 2 chiffres) d'une activité. A côté, est noté: "Voir le tableau des codes d'activité au dos". Et c'est là le plus drôle... Le formulaire téléchargé est en une seule page. Ils ont oublié de reproduire le dos de ce fichu formulaire.
La prochaine fois, je ferai comme Zézette épouse X. Dans les 2 cases, j'écrirai: « Je ne trouve pas votre tableau. ». Ca rentrera pas, mais je m'en fiche. J'écrirai petit.
Pour en revenir à Didier, ce matin il expliquait doctement que dans son service, les gens chargés d'aller effacer les tags dans les rues, n'ont pas assez de véhicules pour pouvoir se rendre sur place effectuer ce travail. Alors qu'il suffirait d'un véhicule de plus, pour pouvoir les emmener sur leurs chantiers. Et que c'est une situation abracadrabrantesque.
Moi je dis: Didier a raison. Y'en a marre de ne pas mettre à disposition les moyens nécessaires pour que les gens puissent faire leur boulot. Et ensuite, on leur reproche de ne pas faire leur travail.
Une fois son explication terminée, et son heure de bistrot achevée (enfin... celle du matin. Pas celle de midi ni celle du soir), Didier est reparti bosser. Avec une camionnette du service qui sert à transporter le personnel. Voilà.
Effectivement Kafka n'est pas mort. Enfin... pas exactement de la manière que l'on pense. (Non Roger, Kafka n'est pas mort écrasé par une camionnette de la mairie! Et Kafka n'est pas employé municipal non plus).
Je salue tous ceux qui ont les moyens d'accomplir leur tâche.
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