lundi, octobre 31, 2005

Google je t'aime

Je me suis livré (à l'heure du déjeuner évidemment! je ne vais quand même pas me divertir sur mes heures de labeur et ainsi léser mon cher employeur. Bon d'accord... j'avoue...) à un petit jeu assez drôle (enfin... pour moi!). J'ai écrit un petit texte tout à faite innocent que j'ai livré en pature au traducteur automatique de Google afin qu'il me le livre dans la langue de Shakespeare (en anglais donc... mais j'aime bien écrire comme les journalistes parfois). Puis j'ai pris le résultat de la traduction, qui est donc en anglais, que j'ai réinjecté dans le traducteur de Google, pour qu'il me le redonne dans la langue de Molière.
Comme disent les ados: trop drôle, ça tue sa race.
Voilà le texte de départ:
Chère Lectrice, cher Lecteur, J'ai toujours eu un petit côté farceur. Un petit texte écrit à la va-vite, et sans queue ni tête va me servir de terrain d'expérimentation. Pâques au balcon, Noël aux tisons dit le proverbe, ou bien est-ce l'inverse? Ou bien tempête en Juin, temps chie en Juillet? Ou doit-on dire: t'en pêtes en Juin, t'en chies en juillet? Vous qui lisez ce texte, c'est une traduction automatique, faite par mon ami de toujours, Google. J'espère que pour une fois il ne sera pas bête à manger du foin. Amicalement. Signé: Moi

Et voici le texte traduit deux fois:

Cher Lectrice, cher Lecteur, j'ai toujours eu un petit joker latéral. Un petit texte écrit avec va-rapide, et sans queue ni tête sera employé à moi comme terre d'expérimentation. Pâques avec le balcon, Noël est-elle avec les tisons dit le proverbe, ou l'inverse? Ou l'orage en juin, temps chie-t-il en juillet? Ou nécessité une parole: t'en les pêtes en juin, t'en la merde en juillet? Vous qui lisent ce texte, il est une traduction automatique, faite par mon ami de toujours, Google. J'espère que pour une fois lui ne soyez pas stupide pour manger le foin. D'une manière amicale. Signé: Je

Moi aussi j'aime bien mon joker latéral... Stupide pour manger le foin, il a dit Monsieur Google.

Je salue bien bas les traducteurs-interprètes humains. Ils ont encore de beaux jours devant eux.